Conférence de Presse - Robert Pattinson pour Breaking Dawn, part 1

  










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source: Twilightish

youtube: manutdgirl727
source:  Collider

Vous incarnez Edward depuis 4 ans, parlez nous de son évolution à travers la saga et la vôtre.

Rob : Je pense qu'en gros, c'est l'évolution d'Eward. J'ignore le fait qu'il soit un vampire et qu'il a 108 ans si ce n'est à des fins métaphoriques. Vous avez un adolescent perturbé. C'est une simple histoire vis à vis de lui-même qui n'est pas satisfait de lui même. Il sera satisfait de lui quand il aura trouvé la femme qu'il lui faut et qu'il aura un enfant. C'est ainsi que les mecs perturbés trouvent un équilibre, non ? Du moins, il faut l'espérer.

Question : Bill a mentionné le fait que vous ayez dit qu'Edward se dénigrait et n'était jamais impliqué dans l'intrigue des 3 premiers films.

Rob : J'ai toujours pensé que c'était l'élément clé. Il est coincé dans l' adolescence. Il pense que tout est injuste, il vit ça depuis 100 ans. Il en arrive au désespoir, il est difficile de l'incarner car c'est aussi une histoire d'amour. C'est marrant car Bill a été la 1ère personne à dire : "Je veux qu'on voit ça de lui" car Edward n'a jamais été aussi heureux de toute la saga. On a fait des flashbacks pour se remémorer cette colère.

Et votre évolution personnelle ?

Rob : Elle a été remplie de plein d'obstacles. Grandir pour devenir ce que je voulais être. Un labyrinthe assez sinueux. Et être propulsé ainsi et avoir toujours l'impression d'être dans ce labyrinthe. Ca n'a pas faibli et j'essaie encore de découvrir où j'en suis. Mais ça a été marrant, je ne savais pas si j'allais continuer à faire le métier d'acteur et maintenant, je n'en ai jamais eu autant envie.

Qu'est ce qu'il y a sur votre iPod en ce moment ?

Rob : J'ai l'air toujours prétentieux quand je dis ça. Il y a un groupe qui se nomme Pato. C'est un pianiste du nom de Arnold Dramale. Je ne me souviens pas des autres désolé. Ah si Katy Perry !

Pouvez-vous parler de vos tous derniers moments en tant qu'Edward ?

Rob : Elle a fait une blague dans les bois ? Ah oui, à propos de courir après Jake et dire qu'elle a fait une erreur. Ouais, elle a fait ça tout au long de la saga. La scène de l'accouchement (en parlant de ça maintenant), j'ai lu cette scène et j'étais plutôt étonné. Je savais que c'était fou mais je ne pouvais pas croire que c'était réellement écrit et que nous allions le faire. C'était terrifiant de se lancer. Ca vous fait cesser d'être - c'était une des scènes les plus incroyables à faire dans ce film. Il y a cette version Rated-R de quelques scènes dans ce film (rires). A cause de la violence, ça donne beaucoup de liberté dans cette scène. Les personnages sont tellement désespérés, ça devient quelque chose de très très différent. Faire ce truc où soudain Edward est entre de fausses jambes décharnées, ayant de la cheese cream plein la figure et ensuite sortir un bébé de 3 semaines, c'était énorme (il rit beaucoup).

Et vos derniers moments en tant qu'Edward ?

Robert : Les tous derniers moments, j'étais aux Caraïbes, sur la plage. C'était incroyable. C'était la seule fois où j'ai fait un truc comme ça dans un Twilight. La dernière scène avec tout le monde... c'était 2 semaines de tournage dans le froid, à la fin de la nuit. Il faisait glacial, la pluie était battante. C'était plutôt représentatif du tournage de tous les films (rires). Ca ne ressemble pas encore à la fin. Parce que la promo a commencé. Ca fait partie du processus. Tant que le dernier n'est pas sorti, je n'ai pas l'impression d'avoir terminé quoi que ce soit.

Avez-vous déjà eu un moment super nerveux/super content dans la vraie vie comme Edward au mariage ?

Rob : Je n'arrive pas à y penser. Je me promenais à Paris l'autre jour. En réalité non, c'est un mauvais exemple. Je ne me souviens pas d'un exemple particulier, désolé !

Vous avez fait tous les films de cette énorme franchise. Qu'aimeriez-vous faire réellement ? Un film indépendant ? Un grand film ? Essayer de battre le record de Harrison Ford de faire toutes les franchises ? Qu'allez- vous faire ensuite ?

Rob : Je ne sais pas. J'aborde ces instants exactement de la même manière. Les films plus petits sont géniaux parce que vous n'avez pas à discuter avec plein de personnes tout le temps. Mais en réalité, j'aime discuter, donc il y a un équilibre de toute façon. Dans les films indépendants, c'est bien de voir - pardon, je viens juste de voir votre chien là, je l'ennuie au point qu'il s'endort (quelqu'un a amené son chien). Ouais, c'est bien de voir quelqu'un réaliser et qui aime vraiment ça. Il se met à l'épreuve encore et encore. Je n'ai jamais travaillé avec quelqu'un qui n'éprouvait aucune pression. C'est bien que la pression ne soit pas causée par des compromis.

Vous avez dit vouloir retourner à la musique. Est-ce toujours une priorité ?

Rob : Ouais. J'enregistre pas mal de trucs mais - c'est une chose d'affronter la critique pour des films, vous pouvez toujours rejeter la faute sur quelqu'un d'autre. Mais avec la musique, vous sortez simplement un album pour que les gens le jugent. Je me fiche de ce qu'ils disent, mais le jour de sa sortie, je sais que je regarderais les commentaires en ligne.

Vous avez été immortalisé tout à l'heure. Qu'est-ce que ça vous fait ?

Rob : Je suis allé au Magic Castle la première fois que je suis allé à L.A. quand j'avais environ 17ans. J'avais l'habitude de me promener sur Hollywood Boulevard tout le temps et je ne savais pas que ça ressemblait à ça. Franchement, je n'imagine pas que j'ai déjà fait ça. C'est comme si cette vague est arrivée et que je suis simplement dessus. Je n'ai jamais vraiment cette sorte de - j'ai l'impression qu'aujourd'hui fait partie de la même chose. J'étais plutôt embarrassé parce que je me suis levé et j'ai foiré ma propre empreinte ! C'est incroyable. Ca représente quelque chose de merveilleux. C'est hallucinant.

Vous avez vécu un mariage extravagant. En voudriez-vous un comme ça dans votre vie ?

Rob : Ca ressemble un peu à une dispute. J'ai fait une interview avec Kristen. Elle était en colère après moi parce que j'ai dit que le fiancé est juste un accessoire de mariage (rire). En le jouant, vous réalisez que c'est vrai quand vous attendez à un bout de l'allée et que TOUT LE MONDE regarde la fille qui arrive dans sa robe de princesse (rires). C'est juste... n'importe quel gars qui tente de s'investir dans un mariage ou donne son opinion... c'est votre femme qui décide tout.

C'est donc un non ?

Rob : faire un mariage extravagant ? Non.

source hypable

Auteur : Traduction : Babe et Ptiteaurel © rpattzrobertpattinson.com

source : collider - crédit vidéo : youtube.com/manutdgirl727

Journaliste : Bonjour. Comment allez vous ? Vous incarnez Edward depuis 4 ans, parlez nous de son évolution à travers la saga et la vôtre. En quoi Twilight a changé votre vie.

Rob : Je pense qu'en gros, c'est l'évolution d'Eward. J'ignore le fait qu'il soit un vampire et qu'il a 108 ans si ce n'est à des fins métaphoriques. C'est en fait un adolescent perturbé. C'est une simple histoire vis à vis de lui-même qui n'est pas satisfait de lui. Il sera satisfait de lui quand il trouve la femme qu'il lui faut et qu'il aura un enfant. C'est ainsi que les mecs perturbés trouvent un équilibre, non ? Du moins, il faut l'espérer.

Journaliste : Bill a mentionné le fait que vous ayez dit qu'Edward se dénigrait et n'était jamais impliqué dans l'intrigue des 3 premiers films.

Rob : J'ai toujours pensé que c'était l'élément clé de son personnage. C'est un mec de 100 ans et il n'a jamais atteint les buts qu'il s'est fixés. Il est coincé dans l' adolescence. Quand vous êtes adolescent, vous avez l'impression qu'on ne vous fait pas de cadeau. Vous pensez que tout est injuste blablabla. Il vit ça depuis 100 ans. Il en arrive au désespoir. Je pense qu'il est difficile d'incarner cela car c'est aussi une histoire d'amour. A moins que vous ne vouliez faire un film complétement différent. On a tenté de le pousser vers cet angle. C'est marrant car Bill a été la première personne à dire : "Je veux qu'on voit ça de lui" car Edward n'a jamais été aussi heureux de toute la saga. Ce sont ses meilleurs moments. Mais on a fait des flashbacks pour se remémorer cette colère qu'on ressent en le voyant dans le 1er film

Journaliste : Et votre évolution personnelle ces trois dernières suite à ce rôle qui a changé votre vie ?

Rob : Peut être le fait qu'elle a été remplie de plein d'obstacles. Grandir pour tenter de découvrir celui que je voulais être. C'est comme être dans un labyrinthe assez sinueux. Et vous êtes propulsé ainsi et vous devez toujours comprendre ce labyrinthe. Je n'ai pas l'impression que tout ça ait faibli et j'essaie encore de découvrir où j'en suis. Mais ça a été marrant. J'essaie toujours de comprendre. Je ne savais pas si j'allais continuer à faire le métier d'acteur et maintenant, je n'en ai jamais eu autant envie.

Journaliste : Rob, la musique tient une place importante dans le film. Qu'est ce qu'il y a sur votre iPod en ce moment ? Quelles chansons y a-t-il sur votre playlist ?

Rob : J'ai l'air toujours prétentieux quand je dis ça.

Journaliste : Allez y, soyez prétentieux.

Rob : Je vais tenter de m'en souvenir. Il y a un groupe qui se nomme Pato. C'est un groupe des années 70. C'est un pianiste du nom de Arnold Dramale. Je ne me souviens pas des autres désolé.

Journaliste : J'ai bien l'air bête car je ne sais pas comment épeler ce nom.

Rob : Ah si Katy Perry !

Journaliste : Pouvez-vous parler de vos tous derniers moments en tant qu'Edward ? On a entendu dire que vous étiez dans les bois et que Kristen a fait une blague. Parlons nous de cette scène où vous transformez Bella.

Rob : Elle a fait une blague dans les bois ?

Journaliste : Elle a couru après Jake pour lui dire qu'elle avait fait une erreur.

Rob : Ah oui, c'est vrai. Ouais, elle a fait ça tout au long de la saga . Quelle était votre question ?

Journaliste : Pourriez vous nous parler de la scène de la naissance du bébé ?

Rob : Cette scène. La scène de l'accouchement. J'ai lu cette scène dans le script avant de la lire dans le livre. J'ai donc lu cette scène et j'étais plutôt étonné. Je ne savais pas que c'était fou mais je ne pouvais pas croire que c'était réellement écrit et que nous allions le faire. C'était terrifiant de se lancer. Ca vous fait cesser d'être - c'était une des scènes les plus incroyables à faire dans ce film. Il y a cette version Rated-R de quelques scènes dans ce film (rires). C'était incroyable car à cause de la violence, ça donne beaucoup de liberté dans cette scène. Les personnages sont tellement désespérés, ça devient quelque chose de très très différent. Et en particulier pour Edward qui est toujours sur la réserve, il est pacifiste et objectif et voit les choses avec beaucoup de logique. Faire ce truc où soudain Edward est entre de fausses jambes décharnées, ayant du fromage frais plein la figure et ensuite sortir un bébé de 3 semaines, c'était énorme. Ce n'est pas un truc que je ferais tous les jours

Journaliste : Et vos derniers moments en tant qu'Edward ? Ca vous a fait quoi ?

Robert : Les tous derniers moments, j'étais à St Thomas aux Caraïbes, sur la plage. C'était incroyable. C'était la seule fois où j'ai fait un truc comme ça dans un Twilight. La dernière scène avec tout le monde... C'était horrible car il faisait un froid de canard. C'était 2 semaines de tournage de nuit et tout le monde est rentré se mettre au chaud. On a dit "C'est la fin de Twilight". Il était 5h du matin et il faisait glacial, la pluie était battante. C'était plutôt représentatif du tournage de tous les films car on a toujours eu du froid pour tourner. Ca ne ressemble pas encore à la fin. Parce que la promo a commencé et vous répondez à toutes ces questions. Vous avez l'impression que ça fait partie du processus quand vous tournez un film. Tant que le dernier n'est pas sorti, je n'ai pas l'impression d'avoir terminé quoi que ce soit.

Journaliste : Bonjour. Lors de la scène de l'accouchement, on sent qu'Edward est complétement affolé mais heureux à la fois. Avez-vous déjà eu un moment super nerveux/super content dans la vraie vie comme Edward ?

Rob : Oui des tas de fois. Je n'arrive pas à y penser à un moment où j'étais à la fois terrifié et heureux. Vous devez garder le contrôle donc vous êtes toujours un peu nerveux. Je pense que c'est le bonheur parfait quand vous êtes un peu aussi terrifié. Je ne me souviens pas.

Journaliste : Quand avez vous ressenti cela pour la dernière fois ?

Rob : Oh punaise. J'arrive pas à trouver. C'est assez pitoyable mais je me promenais à Paris l'autre jour. En réalité non, c'est un mauvais exemple. Je ne me souviens pas d'un exemple particulier, désolé !

Journaliste : Bonjour Rob. Vous avez fait tous les films de cette énorme franchise comme pour Harry Potter ou Twilight. Qu'aimeriez-vous faire réellement ? Un film indépendant ? Un grand film ? Essayer de battre le record de Harrison Ford de faire toutes les franchises ? Qu'allez- vous faire ensuite ?

Rob : Je ne sais pas. J'aborde ces instants exactement de la même manière jusqu'à ce que je sois sur le tournage. Les films plus petits sont géniaux parce que vous n'avez pas à discuter avec autant de personnes tout le temps. Mais en réalité, j'aime discuter, donc il y a un équilibre de toute façon. Dans les films indépendants, c'est bien de voir - pardon, je viens juste de voir votre chien là, je l'ennuie au point qu'il s'endort. Ouais, c'est bien de voir un réalisateur qui aime vraiment ça car c'est si rare. J'ai travaillé avec David Cronenberg et j'ai pu constater cela. Il se met à l'épreuve encore et encore. Je n'ai jamais travaillé avec quelqu'un qui n'éprouvait aucune pression pour lui et tout ce qui l'entourait. C'est bien de voir que la pression n'est pas causée par des compromis ou des trucs du genre. Ils croient en leur capacité et ils font en sorte d'obtenir ce qu'ils veulent. Les gens en ressentent plus de plaisir. Vous devez abandonner plus de choses quand des telles choses sont en jeu. Ou alors vous travaillez sur une saga et vous devez avoir en tête le public ainsi que les films précédents. Ce sont des choses à part.

Journaliste : Vous avez dit vouloir retourner à la musique à un moment donné. J'aimerais savoir si vous avez enregistré quelque chose. Est-ce toujours une priorité ? Pourriez vous nous parler de cela.

Rob : Ouais. J'enregistre pas mal de trucs mais je ne sais pas si. C'est une chose de faire des films et d'affronter la critique car vous pouvez toujours rejeter la faute sur quelqu'un d'autre. On peut blâmer des centaines de personnes. Mais avec la musique, vous sortez simplement un album... les gens le jugent juste parce que vous êtes un acteur et que vous gagnez de l'argent. Donc si vous sortez cet album, les gens vont forcement le juger. Je ne veux pas nécessairement être jugé. Je me fiche de ce qu'ils disent, mais je sais que le jour de sa sortie, je serais sur internet pour regarder les commentaires en ligne. Je me jugerai sans doute aussi.

Journaliste : Est ce que vous pourriez sortir un album sous un autre nom ?

Rob : J'aime cette idée. Je ne sais pas mais ce serait aussi très embarrassant si je me faisais choper.

Journaliste : Vous avez été immortalisé tout à l'heure. Qu'est-ce que ça vous fait d'avoir vos empreintes ? Ca vous a fait quoi ? Vous souvenez vous de la première fois où vous êtes venus à Hollywood ? Ce que ça vous a fait et ce que ça signifie pour vous aujourd'hui ?

Rob : Je suis allé au Magic Castle la première fois que je suis allé à L.A. quand j'avais environ 17ans. J'avais l'habitude de me promener sur Hollywood Boulevard tout le temps et je ne savais pas que ça ressemblait à ça. A l'époque, on aurait jamais pu m'engager. Je n'avais même pas en tête de faire ce métier. Je ne comprenais pas et c'est encore vrai à l'heure actuelle. Franchement, je n'imagine pas que j'ai déjà fait ça. Ce que je ressens... je ne sais pas. C'est comme si cette vague est arrivée et que je suis simplement dessus. Je n'ai jamais vraiment cette sorte de... C'est difficile. J'ai l'impression d'avoir une connexion personnelle avec ce que j'ai vécu il y a 20 ans. J'ai l'impression qu'aujourd'hui fait partie de la même chose. J'étais plutôt embarrassé parce que je me suis levé et j'ai foiré ma propre empreinte ! C'était mon unique empreinte de main et je l'ai foiré. C'est incroyable. Ca représente quelque chose de merveilleux. C'est complétement ridicule. Je n'arrive même pas à savoir ce que je ressens. C'est hallucinant.

Voix : Une dernière question.

Journaliste : Bonjour, je suis de Hollywood Reporter. Vous et les autres acteurs avez vécu un mariage extravagant et très élaboré. Avez vous parler avec les autres acteurs pour savoir si oui ou non vous en voudriez un comme ça dans votre vie ? Ou si vous ne voudriez pas d'un mariage élaboré ?

Rob : Je ne sais pas. Ca ressemble un peu à une dispute sur ce point. J'ai fait une interview avec Kristen. Elle était en colère après moi parce que j'ai dit que le marié... son rôle est juste d'être un accessoire de mariage. En le jouant, vous réalisez que c'est vrai quand vous attendez à un bout de l'allée et que TOUT LE MONDE regarde la fille. Vous vous êtes là avec le costume que tous les mecs portent. Vous vous contentez d'attendre. Elle, elle arrive dans sa robe de princesse. N'importe quel gars qui tente de s'investir dans un mariage ou qui donne son opinion sur la tournure du mariage... C'est ridicule car c'est votre femme qui décide tout.

Journ : C'est donc un non ?

Rob : Pour quoi ? Faire un mariage extravagant ? Je n'aimerais pas avoir l'air idiot.

Merci.

Auteur : Traduction Ptiteaurel © www.rpattzrobertpattinson.com