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| Critiques à propos de "Bel Ami"... | |
| | Auteur | Message |
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Clair de Lune
Nombre de messages : 13133 Age : 55 Localisation : perdue dans de doux rêves... ^_^ Citation préférée : When you can live FOREVER, what do you live for...? Date d'inscription : 15/03/2009
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| Sujet: Critiques à propos de "Bel Ami"... Sam 11 Fév - 1:28 | |
| ... from AltFilm ... Twelve minutes from the latest Robert Pattinson film, an adaptation of Guy de Maupassant's Bel Ami, have been uploaded online. Those consist of five brief, disparate scenes from the movie, all of them featuring Pattinson. ...
Set in a church, in the first scene Pattinson's ambitious ex-soldier Georges Duroy plays (very determinedly) a game of seduction with Older Woman, Kristin Scott Thomas. In the second, Pattinson convincingly plays a drunk Duroy in a cabaret. That's when he runs into the obnoxious publisher Charles Forestier, who will inadvertently assist Duroy in his ascent in Parisian society.
The third scene is set at the Forrestier dinner table. The issue of class is all too apparent — Duroy doesn't know which knife to use — and so are the various seduction games despite all the surface talk about life in the desert and French colonial politics. Even though Pattinson, Christina Ricci, and Uma Thurman are perfectly fine — Pattinson's facial expressions, a mix of shyness and self-assertion, are particularly impressive — the scene-stealer here is Scott Thomas: "I was told that the [desert] sands … sing?"
In the fourth scene, Duroy performs a different sort of seduction, as a little girl falls for her playful "bel ami." The brief follow-up scene features Pattinson/Duroy and his conquest Ricci/Clotilde de Marelle in his dingy apartment.
Though a low-budget production, Bel Ami — as its trailer (and even its poster) promised — is gorgeous to look at.
Alt Film Guide est le premier site n'appartenant pas au fandom, et qui écrit des critiques positives à propos de Bel Ami et surtout de Rob... Source: AltFilm via ROBsessed ... | |
| | | Annouk
Nombre de messages : 12443 Age : 51 Localisation : Québec Citation préférée : La mort qui a sucé le miel de ton halaine, n'étend pas son emprise encore sur ta beauté Date d'inscription : 14/03/2009
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| Sujet: Re: Critiques à propos de "Bel Ami"... Mar 14 Fév - 23:55 | |
| Traduction R-Pattz tombe le pantalon à Paris Quand Robert Pattinson a rencontré Marion Cotillard à Cannes et lui a dit qu'il faisait un film basé sur un roman français de Guy de Maupassant elle a été perplexe : "Mais pourquoi le faire en anglais ?". C'est une des nombreuses questions que peuvent se poser les spectateurs en regardant la 11ème adaptation de l'histoire impitoyable sur la belle époque Parisienne sur l'arrivisme sexuelle/sociale qui a du potentiel pour être un film érotique, un parallèle impénitent aux renommées des tabloïds modernes (Simon Fuller a aidé au financement du projet après tout) et un rôle révélateur pour le beau gosse de Twilight. Au lieu de ça, ça finit par un beau mais confus remake avec l'accent de RP mélangé avec des prononciations françaises ("J'ai dit, Monsieur Forestière !"). Bon point pour Pattinson pour casser son personnage d'Edward Cullen avec beaucoup de scènes de sexe et de maussaderie, mais il retombe souvent à plat pour transmettre les subtilités de la séduction, l'avarice, la rag, et la fausseté de son personnage. Cela dit, lui et la production (réalisé par Nick Ormerod et Declan Donnellan) sont de belles créatures, habillement soutenues par un casting de luxe qui ajoute de l'émotion. Kristin Scott Thomas est le cœur blessé de la pièce, élégante et en manque d'affection comme une épouse pieuse corrompue sexuellement par Pattinson (Duroy) dans sa quête pour atteindre son puissant mari. Christina Ricci apporte l'intérêt nécessaire en la débauchée Clotilde, tandis que Uma Thurman, joue la femme de Duroy, est remarquable surtout pour son style alarmant Thatcheresque. La scripte de "Larkrise to candleford" Rachel Bennette a bien joué pour condenser la sexualité de Duroy en scène clé, mais n'a pas réussi à exprimer son égoïsme, sa motivation insensible, faisant de lui quelqu'un de contrit ou un simple râleur. Et est ce qu'une élaboration luxueuse signifie un excès de zèle au montage ? La narration est parfois fouillis, alors qu'une scène où le personnage enroule ses cheveux dans les boutons de Duroy est laissé inexpliquée. Un luxuriant vaudeville d'époque, qui ravira les fans de R-Pattz, mais une adaptation sans effet, n'utilisant pas totalement les matériaux de base. Cotillard peut ne pas approuver. Le verdict : Une belle mais curieusement fade adaptation d'un classique impertinent qui montre l'ambition de Pattinson si ce n'est pas toutes ses capacités. Note : 3 étoiles sur 5 source : twitter.com/BexDazzled via livejournal pattinsonlife
Auteur : Traduction Sabine © www.rpattzrobertpattinson.com | |
| | | Annouk
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| Sujet: Re: Critiques à propos de "Bel Ami"... Mar 14 Fév - 23:55 | |
| Critique de Bel Ami par Sigh and sound
Le deuxième roman de Guy de Maupassant, au sujet d'un goujat sans scrupules qui se hisse au sein de la société parisienne de la Belle Epoque en se servant des femmes comme tremplin, a souvent été adapté à l'écran, la plus célèbre adaptation étant celle d'Albert Lewin intitulé "The Private Affairs of Bel Ami" en 1947, avec George Sanders dans le rôle principal. Lewin, qui possédait une culture francophile, y avait fait un beau et sur-détaillé travail, mais, à 41 ans, Sanders était trop vieux pour le rôle et les censeurs de Hollywood, au grand dam de Lewin, ont imposé une fin moraliste dans laquelle le goujat a ce qu'il mérite au cours d'un duel fatal. Difficile de faire quelque chose de plus hors sujet par rapport au roman de Maupassant, qui respire le cynisme mondain pour lequel l'écrivain était célèbre.
La nouvelle version n'a rien à voir avec une telle attitude moralisatrice. Le scénario de Rachel Bennette offre un rendu fidèle de l'oeuvre originale, y compris la fin avec Georges Duroy (l'ambitieux "Bel Ami" du titre) qui savoure son triomphe sur la société superficielle et corrompue qu'il méprise et personnifie à la fois. Bien que le film soit bien ancré dans son époque - la ville de Budapest fait un Paris en 1890 convaincant, où sévit le colonialisme français en Afrique du Nord qui fournit une toile de fond politique trouble - les thèmes du film donnent le sentiment d'être d'actualité. Un pays arabe est envahi pour des motifs hautement supérieurs, les partis politiques dénoncent ces pratiques tout en les adoptant subrepticement, la presse s'attaque à la corruption dont elle profite et un jeune homme sans véritable talent accède à la gloire grâce à son joli visage et sa fière allure.
Les réalisateurs Declan Donnellan et Nick Ormerod, dont c'est le premier long métrage, sont surtout connus pour leur travail avec Cheek by Jowl, la compagnie de théâtre avant-gardiste qu'ils ont fondée en 1981. Si Bel Ami donne parfois l'impression d'être étouffant et trop "art et d'essai", il reflète en partie l'époque où il se situe, mais les réalisateurs ont abusé des gros plans sur les visages. C'est presque comme s'ils n'avaient pas confiance en l'aptitude de leurs acteurs à exprimer des émotions en plan moyen - c'est la dernière chose à laquelle vous vous attendez de la part de metteurs en scène de théâtre. Cela donne un Robert Pattinson en Bel Ami qui n'est pas à son avantage, puisque de près son visage a tendance à faire dans le bovin, mais par moments, il donne l'impression qu'il sait jouer. Une scène, où il joue à chat-perché avec sa bientôt maitresse Clothilde (Christina Ricci dans le rôle de l'amoureuse transie) et sa petite fille, fait ressortir le charme enfantin qui est en lui et qui s'avère utile auprès des dames parisiennes. Même si il est loin d'atteindre le niveau de jeu de son trio d'amoureuses, Christina Ricci, Uma Thurman qui joue le rôle de son mentor et par la suite de sa femme, et Kristin Scott Thomas, touchante et vulnérable dans celui de la femme de son patron. Comme le fait remarquer le personnage d'Uma Thurman, Madeleine, qui met Georges, sans le savoir, sur le chemin vers le sommet, dans cette société apparemment dominée par les hommes, les personnes vraiment importantes sont les femmes - et il en va de même pour le film.
via livejournal pattinsonlife
Auteur : Traduction : Valeriane © rpattzrobertpattinson.com | |
| | | Clair de Lune
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| Sujet: Re: Critiques à propos de "Bel Ami"... Mer 15 Fév - 1:27 | |
| hummm... bon.... ben merci... :) | |
| | | leslie90
Nombre de messages : 2740 Age : 52 Localisation : Belfort Citation préférée : L'eternite, toute l'eternite , rien que l'eternite Date d'inscription : 29/08/2009
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| Sujet: Re: Critiques à propos de "Bel Ami"... Mer 15 Fév - 8:56 | |
| comme tu dis CDL ... bon .... à voir
mercii Annouk | |
| | | Annouk
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| Sujet: Re: Critiques à propos de "Bel Ami"... Ven 17 Fév - 17:48 | |
| Critique de "Bel Ami" par indiewire.com
Robert Pattinson à l'affiche de "Bel Ami" en séducteur sexy
Il est tout à fait logique que Rob Pattinson poursuive ses efforts afin d'élargir sa base de fans avec la franchise "Twilight" touchant à sa fin. Etre à l'affiche d'une nouvelle adaptation cinématographique du roman de Guy de Maupassant de 1885, "Bel Ami", servira certainement ce projet : Interpréter Georges Duroy, un ancien soldat peu scrupuleux qui gravit les échelons de la haute société parisienne en séduisant les épouses d'hommes puissants, ajoute quelques cordes à son arc.
Duroy est sans scrupules, égocentrique et ouvertement ambitieux, mais a suffisamment de magnétisme sexuel pour aller plus avant dans sa carrière en parlant de son parcours dans certaines des alcôves les plus cossues de la ville. Robert Pattinson est donc impliqué dans des liaisons à l'écran avec des actrices assez âgées pour être les mères du public coeur de cible de "Twilight". C'est une façon de rebondir, et pas sans risques.
Pour toutes ces raisons, il est difficile de ne pas espérer que "Bel Ami" soit des plus attractifs. Declan Donnellan et Nick Ormerod font leurs débuts en tant que réalisateurs de cinéma après de longues et brillantes carrières avec la célèbre compagnie théâtrale Cheek by Jowl. Leur formation théâtrale est parfois flagrante : l'action de "Bel Ami" (tourné à Budapest, qui tient lieu de Paris) se déroule surtout en intérieur, mais sur grand écran le rendu donne un sentiment d'exiguïté et de claustrophobie.
La connotation contemporaine de "Bel Ami" ne saurait être trop soulignée. Duroy, rentré en France après avoir servi dans l'armée française en Algérie, est un personnage qui monte dans la société sans pour autant faire grand chose - comme bon nombre de célébrités d'aujourd'hui. Il utilise une carrière dans le journalisme comme sésame, mais est à peine capable d'écrire une phrase cohérente. Pourtant, il se rend compte que la gloire peut rivaliser avec le pouvoir et l'influence. Cela fait très 21e siècle.
Il y a aussi une intrigue secondaire sur la corruption politique et l'hypocrisie et le rôle que peut jouer le milieu du journalisme pour abattre des politiciens et même des gouvernements. En Grande-Bretagne en particulier, où les scandales de piratage informatique ont conduit à la fermeture d'un journal national et où les demandes frauduleuses de remboursement de frais par des membres du Parlement ont dominé les manchettes ces dernières années, cela fait écho. Et pourtant, il n'y a pas corrélation avec le récit principal : l'influence croissante de Duroy et les femmes qu'il séduit pour y arriver.
Heureusement, les trois actrices en question s'en tirent bien. Uma Thurman, l'épouse d'un rédacteur en chef politique influent, est un personnage complice et empathique qui appuie les ambitions de Duroy, et écrit même son article détaillant ses souvenirs de jeune soldat. Kristin Scott Thomas est, au départ, la froide épouse d'un patron de presse - et qui peut mieux faire un personnage froid que Scott Thomas. Mais elle s'entiche de Duroy et en est réduite à le supplier de ne pas mettre fin à leur liaison.
La meilleure de toutes est Christina Ricci dans le rôle de Clothilde, une aimable et charmante femme du monde qui séduit rapidement Duroy. La carrière de Ricci a fluctué depuis ses premiers succès cinématographiques dans son enfance et son adolescence, mais dans ce film elle apparait plus vive et efficace à l'écran qu'elle ne l'a été au cours de ces dernières années.
Mais la personnalité de Robert Pattinson en elle même pose problème au personnage de Duroy. Si il affiche la cruauté du personnage convenablement, et son sourire féroce est une arme utile à cet égard, il semble mal à l'aise dans un rôle d'époque. Ce n'est pas qu'il soit un mauvais acteur, mais il ressemble beaucoup à un jeune homme contemporain dans un contexte historique, son langage corporel est trop décontracté et informel pour les milieux sociaux dans lesquels Duroy évolue. (Et là on se met à penser que son prochain rôle, un jeune magnat de la Bourse à Manhattan dans l'adaptation de David Cronenberg du roman de Don DeLillo "Cosmopolis", devrait aller comme un gant à Pattinson).
Quant à "Bel Ami", la communauté des fans de R-Patz peut bien s'y intéresser par curiosité - et il montre clairement leur idole dans des situations bien plus explicites que ce qu'ils ont vu auparavant. Mais il est peu probable que le film soit d'un grand intérêt pour eux ; en vérité, il est plus à destination d'un public plus âgé, qui peut apprécier les thèmes sous-jacent du roman de Maupassant sans qu'ils soient explicitement énoncés.
source : indiewire.com/thompsononhollywood via robert pattinson life
Traduction : Valeriane © rpattzrobertpattinson.com | |
| | | Annouk
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| Sujet: Re: Critiques à propos de "Bel Ami"... Mar 21 Fév - 19:55 | |
| CRITIQUE DE BEL AMI PAR HAYS AT THE MOVIES SUITE AU FESTIVAL DU FILM DE JAMESON DUBLIN Critique de Bel Ami – Jameson Dublin Film Festival 2012 Georges Duroy (Robert Pattinson) passe de commis sans le sou à l'un des hommes les plus puissants de Paris grâce à sa manipulation des femmes les plus influentes de la ville. Nous avons souvent vu des chroniques de femmes qui utilisent leur sexualité à des fins personnelles et professionnelles, c'est donc un changement rafraîchissant de voir un homme faire la même chose sur écran.C'est également un changement rafraîchissant de voir Robert Pattinson sourire autant, et de ne pas briller à la lumière du soleil. Bel Ami est adapté du roman éponyme de Guy de Maupassant écrit en 1885 qui raconte son ascension dans les rangs des journalistes. Robert Pattinson joue un jeune homme qui a servi dansl'armée en Algérie. A son retour à Paris, il se retrouve sans le sou et sans ressources jusqu'à ce qu'une rencontre fortuite avec un vieil ami le mette sur le chemin de la richesse. On conseille à Duroy d'obtenir les bonnes grâces des épouses des hommes influents et en un rien de temps , il travaille pour un journal – il écrit sur ses expériences en tant qu'officier de la cavalerie - et il entame une liaison avec Clotilde (Christina Ricci), mais ce n'est que le début pour Georges Duroy. Robert Pattinson est très bien dans le rôle de jeune homme qui grimpe l'échelle sociale, mais il semble un peu trop contemporain pour s'adapter à la période où le film se déroule. En plus de cela, Robert Pattinson ne crée pas beaucoup de profondeur dans le personnage; Duroy ne semble pas avoir d'autre motivation que le sexe et l'argent, même si une scandale politique fait rage autour de lui. Il y a un peu de Dorian Gray chez Georges Duroy - il est beau , mais diabolique avant tout et ne se soucie de rien d'autre que lui-même. Uma Thurman, Christina Ricci et Kirstin Scott Thomas jouent les femmes que séduira Duroy. Thurman joue Madeleine, une femme qui semble être l'opposé de Duroy, dans tous les sens du terme, elle n'est pas intéressée par l'argent ou le sexe - avec son nouveau mari de toute façon -, mais se jette dans le travail pour le journal. Ricci incarne Clotilde et crée un personnage frivole et socialement ignorent, et Scott Thomas est Madame Rousset et elle est réduite à une écolière pleurnicheuse dès que son regard de son «bel ami » est tournée sur elle. Les femmes ont de la profondeur un peu plus que Duroy, mais tandis qu'on dit au public que ces femmes détiennent tout le pouvoir , on ne nous donne pas de démonstration réelle de leur influence. Bel Ami aurait pu être une belle histoire sur la façon dont la puissance sexuelle est utilisée pour faire tomber un gouvernement, mais il est plutôt réduit à une histoire de sexe sans aucune sensualité et des personnages qui semblent n'avoir aucun lien les uns avec les autres. Le film est magnifiquement conçu, mais il semble que les personnages font un peu plus partie du décor que les endroits magnifiques où ils sont, et ils manquent tant de substance. Réalisé par Declan Donnellan et Nick Ormerod qui sont célèbres pour leur travail au théâtre, en particulier avec la compagnie Cheek by Jowl, mais il semble qu'ils se sont perdus dans le milieu du cinéma et ont oublié le message. Bel Ami est très joli, mais il manque la substance que l'on pourrait attendre d'un film qui encapsule le pouvoir des médias qui sélectionne et détruit les gouvernements. En bref, Bel Ami semble bon, a l'air bien - la bande sonore par Rachel Portman est merveilleuse - mais il lui manque l'histoire qui aurait pu en faire autre chose que ce drame insipide mais joli. Le film est agréable, mais il ya une riche veine de récit qui est agitée devant le public de temps à autre, mais jamais exploitée. Le film est superficiellement OK, mais décevant. source hays at the movies via spunk ransom
Auteur : Traduction Ptiteaurel © www.rpattzrobertpattinson.com | |
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